
Sans casque, ni bouclier : la répression au Ministère de l’Intérieur

le Gouvernement entend faire de nombre d’intervenants (travailleurs sociaux – prioritairement – mais aussi salariés des transports, de la santé, éducateurs, bailleurs…) des auxiliaires de police en signalisant des déviants (1).
Outre l’absurdité consistant à incarcérer/expulser quelqu’un « totalement inséré dans la société » pour des faits commis voilà plus de vingt ans plusieurs raisons nous ont incités à ceci :
organisation fondamentaliste et racialisante animée par Mohamed Latrèche, une manifestation d’opposants à l’éventuel projet de loi sur l’interdiction du voile et d’autres “signes ostensibles” dans l’espace public avait lieu à Paris.
est par lui toujours contrôlé et ne défend prioritairement les puissants au détriment de ceux considérés être aux marges (de qui ? de quoi ? qui détermine le Centre ?). Pareillement sa force publique ne devrait se voir déléguer partie de ce pouvoir populaire que sous le mode synallagmatique, dans un cadre réflexif et obligeant.
SUD-INTERIEUR ne prendra pas part aux élections professionnelles ayant lieu au sein de la Police Nationale du 16 au 20 novembre 2003.
et de la Coalition Mondiale contre la Peine de Mort (qui outre ECPM en assurant le Secrétariat comprend notamment le Syndicat de la Magistrature, la Ligue des Droits de l’Homme, Amnesty International, le Mrap, la FSU, le SAF, l’Action des Chrétien contre la Peine de Mort -ACAT- …) aura lieu l’expression parisienne de la deuxième journée mondiale contre la peine de mort.
Holott a semmi van jelen, a vilàg azért tovàbb lüktet Pilinszky Jànos – Kàrhozat
(Bien que règne le néant, le monde continue à battre) Jànos Pilinszky – Damnation