Dans un article publié par metronews le 3 août 2015 (1) : « Du côté de la place Beauvau, les responsables des ressources humaines précisent qu’entre les mois de mai et de juillet 2015, « Brigitte Bonello ne s’est pas présentée » à ses convocations auprès de deux experts et d’un psychiatre. « La commission de réforme peut de nouveau être saisie à l’initiative du SGAMI sur la base d’une nouvelle expertise médicale qu’il appartient à Madame Bonello de demander et qui sera susceptible d’établir que son état de santé a évolué favorablement, et que son aptitude à occuper un emploi est avérée », précise un porte-parole du ministère ». Une réponse à la « va vite », approximative et qui déforme les faits.
La volonté est limpide : éviter d’avoir à produire le moindre élément sérieux permettant de contester la fiabilité de l’analyse produite par SUD INTERIEUR – qui fait toujours l’objet d’un silence plus qu’embarrassé…-, et dont les grandes lignes sont consultables sur plusieurs documents mis en ligne sur note site les 14 mai, 8, 24 et 28 juillet 2015 (2).
DES MANIPULATIONS AU SERVICE D’UN SEUL OBJECTIF :
PAS DE REINTEGRATION
Les « moulinets » poussifs du ministère ne résistent pas à la réalité [têtue] des faits : si BrigitteBONELLO ne s’est pas présentée les 27 mai (3) et 16 juillet 2015 (4) aux expertises diligentées par leministère auprès de deux psychiatres, c’est tout simplement parce qu’elles sont aussi illégales qu’inutiles et par conséquent abusives, l’aptitude à occuper un emploi étant avérée puisque toutes les expertises médicales produites lors de la commission de réforme du 19 mars 2015 concluent en ce sens. Continuer la lecture