Elles sont toutes les deux depuis plusieurs années en congé de longue durée.
Si nous avons décidé de vous relatez aujourd’hui leur histoire – avec leur accord naturellement -, c’est pour dénoncer l’inertie du corps préfectoral (notamment Béatrice ABOVILLIERS, Julien CHARLES et Michel TOURNAIRE) en passant par la directrice des ressources humaines – partie aujourd’hui -, Stéphanie MONTEUIL.
Nous pourrions encore citer éventuellement d’autres noms, mais nous ne le ferons pas aujourd’hui. SUD Intérieur a eu connaissance de leurs dossiers en juillet 2011. Après leur analyse, nous avons conclu que leur « descente aux enfers » avait pour origine la mise en place de la funeste révision générale des politiques publiques (RGPP) et son cortège de suppressions de postes et d’attributions, obligeant bon nombre d’agents à être déplacés contre leur gré. Cette politique ayant également pour conséquence d’augmenter la pression hiérarchique sur les agents (qui peut prendre aussi la forme de harcèlement professionnel), au risque de les voir basculer du « mauvais » côté : une terrible souffrance.