Aujourd’hui, aucune organisation syndicale ne représente réellement les policiers venus à la profession pour la défense des droits et libertés du Peuple, de ses acquis politiques et sociaux (1).
Grandement coupés des bousculements sociétaux, instrumentalisés par les pouvoirs successifs, les allégeances de réseaux et/ou certaines cliques droitières, la plupart des syndicats policiers existants s’avèrent aussi particularistes que vains.