Lutter contre la régression sociale

nécessite impérativement de combattre les médias dominants qui en sont les propagandistes et les acteurs

Les médias dominants sont détenus par de grands groupes industriels ou des banquiers.

Liste non exhaustive :

Les Echos, Radio Classique (LVMH -Bernard Arnault), Direct 8, Direct Soir, Matin Plus (Bolloré), TF1, LCI (Bouygues aussi actionnaire de metro), Europe 1, Paris Match, Le Journal du Dimanche (Lagardère – aussi actionnaire du Monde, du Parisien et de l’Equipe), Canal+, Itélé,Canal Sat (Vivendi Universal), RTL, M6, Paris Première (Bertelsman – groupe allemand)), Le Figaro, Le Figaro Magazine (Dassault), Le Point (François Pinault via sa holding Artemis – propriétaire du groupe Pinault Printemps Redoute), L’Express, L’Expansion (Roularta – groupe belge), Libération (Rotschild, banquier d’affaires), Le Nouvel Observateur, Challenges (groupe Le Nouvel Ovservateur – Claude Perdriel), sans parler des quotidiens régionaux notamment par les groupes EBRA,Ouest France, Hersant Média, Sud Ouest, Grand Centre et La Voix du Nord, qui exercent, eux, chacun dans un périmètre qu’ils se sont en fait finalement partagé, un monopole total sur l’information quotidienne papier régionale. En tout état de cause, cette concentration empêche un véritable pluralisme des idées.

Mais pas seulement. S’ils sont donc des progagandistes de la pensée de marché présentée, avec des nuances, comme horizon indépassable, ils sont en même temps des acteurs directs de la globalisation capitaliste qui leur profite directement et qui assomme la très grande majorité de la population. Quant aux médias de « service public » (qui n’en sont plus), ils sont eux aussi en rang serré pour soutenir le gouvernement. Mais avant d’examiner leur ” analyse ” des ” nécessaires ” contre-réformes, arrêtons nous d’abord sur la rémunération de quelques PDG et de leurs éditorialistes porte-voix dans le besoin :

  • Jean Bernard Lévy, PDG de Vivendi Universal (1) : 2 297 781 € (2006) ;
  • Patrick Le Lay, ancien PDG de TF1 (1): 2 233 000 € (2006) ;
  • Bertrand Méheut, PDG de Canal + (1) : 1 933 000 € (2006) ;
  • Arnaud Lagardère, PDG de Lagardère Active (1) : 1 909 020 € (2006) ;
  • Etienne Mougeotte, ancien vice-président de TF1 (aujourd’hui au du Figaro (1)) : 1,7 M€ (2006) ;
  • Nicolas de Tavernost, président du directoire de M6 (1) : 1 310 000 € (2006) ;
  • Marc Olivier Fogiel, M6 (2) : 34 000 € mensuels (2006) ;
  • Christine Ockrent, France 3 (3), future directrice générale de France 24 et RFI : 25 000 € mensuels ;
  • David Pujadas, France 2 (1) : 11 000 € mensuels (2006)

A titre de comparaison, le salaire médian est de 1 555 € (4).

Sud Intérieur précise immédiatement que ces rémunérations ne concernent qu’une infime partie de la profession, la très grande majorité des salariés étant assez éloignée de tels sommets (5). Nombreux sont ceux qui affrontent à la fois, comme n’importe quel autre travailleur, rigueur salariale, pression hiérarchique, précarité grandissante (6) et compression d’effectifs (7).

C’est au vu de ses éléments sonnants et trébuchants, qu’il faut donc apprécier les couplets sacrificiels du répertoire de la chorale quasi-unanime des éditorialistes sur la thérapie de choc qu’il convient d’appliquer, et qui les…épargnera.

1er couplet : il y a urgence

” Pas de doute, la réforme de l’Etat est le plus gros chantier du nouveau président. Eh bien, il était temps de la mener! “ (Capital, juin 2007).

Didier Pourquery : ” Il faut faire avancer le dossier de la réforme de l’Etat. Dans un pays moderne (ou qui veut se moderniser), on ne peut pas faire l’économie d’une remise à plat du rôle et des missions de l’Etat. Il faut du service public, mais efficace “ (Libération, 4.9.07).

Vincent Beaufils : ” C’est peu de dire que « la rénovation de notre fonction publique est une urgence nationale », comme l’a martelé François Fillon le 1er octobre. Championne du monde du nombre de fonctionnaires – 21% de la population active, sans compter les salariés des entreprise publiques -, la France doit changer de mentalité “ (Challenges, 4.10.07).

Christophe Barbier : ” La plus urgente [réforme] est celle de l’Etat : la révision générale des politiques publiques est un menuet où il faudrait une marche au pas cadencé “(L’Express, 7.2.08).

François-Xavier Piétri : ” Les mammouths des dysfonctionnements de l’État ont le cuir épais et la vie dure. Et à part le désagrément d’être montré du doigt une fois de temps en temps, ils poursuivent le plus souvent leur bonhomme de chemin, en consommant en toute tranquillité le gras de la République “ (La Tribune, 7.2.08).

Daniel Ruiz : ” L’État va s’appliquer les nécessaires restrictions à lui-même pour renouer avec les notions essentielles de l’efficacité et de la réalité européenne. Indispensable » (La Montagne, 4.4.08)

Etienne Mougeotte: « La volonté ardente de Nicolas Sarkozy de réformer la France en mettant fin à l’obésité paralysante d’un État tentaculaire n’est pas discutable » (Le Figaro, 5.4.08).

Les éditorialistes ont cependant une vision sélective de la réduction des dépenses publiques. Certains domaines sont épargnés par leur haine.

Près de 3500

C’est en fait le nombre de soldats Français qui seront en Afghanistan d’ici l’été 2008 pour obéir aux desiderata américaines (8). Un chiffre soigneusement passé sous silence pour ne retenir que celui du contingent supplémentaire envoyé (9). Pour ce type d’intervention, l’argent public ne manque pas… Les médias dominants soutiennent dans leur grande majorité cette décision (prise sans véritable débat ni vote au Parlement), notamment ceux détenus par Serge Dassault (Le Figaro, Le Figaro Magazine) et Arnaud Lagardère (Europe 1, Paris Match, Le Journal du Dimanche et quelques autres). Le premier est avionneur de guerre (Mirage et autres Rafale), le second faisant aussi dans la quincaillerie militaire (hélicoptères de combat, missiles etc…). Les deux vivent en partie de commandes publiques de…l’Etat. La réduction, c’est donc pour les autres !

2ème couplet : il faut réduire les effectifs et détruire le statut de la fonction publique

Le 23 septembre 2007, quel était le titre de l’émission ” Duel ” sur France 3 de de la femme du ministre Bernard Kouchner, Christine Ockrent ?… ” Y a t-il trop de fonctionnaires ? “. Devinez la réponse…

Ted Stanger, journaliste américain : ” Trop de fonctionnaires, oui. Mais je ne suis pas le seul à le dire, seulement l’unique américain qui s’exprime en langue française. François De Closets, Jacques Marseille, Bernard Spitz, ce sont des auteurs bien français qui ont tout dit sur la question ” (Forum www.nouvelobs.com, 9.10.06).

Jean-Marcel Bouguereau : ” Nicolas Sarkozy veut ” refonder la fonction publique “. Il n’a pas tort […] Y-a-t-il trop de fonctionnaires ? […] Sans doute car leurs effectifs n’ont cessé de croître “ (La République des Pyrénées, 20.9.07).

Pour Etienne Mougeotte, cela passe aussi par ” la réduction drastique du nombre de fonctionnaires, aussi bien de l’État que des collectivités territoriales, en ne remplaçant pas un fonctionnaire sur deux partant à la retraite et en traitant évidemment, de manière différenciée, les hôpitaux ou la conservation des hypothèques “ (Le Figaro, 17.3.08).

Jean-Michel Aphatie : « La suppression de postes de fonctionnaires relève, hélas, du registre de la nécessité “ (Blog, RTL, 18.3.08).

Jean-Louis Gombeaud : « Les économies dégagées par le non remplacement de fonctionnaires[qui se chiffrent à] à peu près 900 millions en année pleine ou 1 % de la masse salariale, ne sont pas grand-chose face au gain de productivité qu’il est possible d’obtenir en faisant travailler mieux près de 2,5 millions de personnes. Or, on ne pourra pas y parvenir sans regarder du côté du statut. “ (Nice Matin, 2.10.07).

3ème couplet : réduire les effectifs, c’est un premier pas, mais notoirement insuffisant

Jean-Michel Aphatie : « Le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux durant toute une législature revient à économiser l’équivalent de 150.000 postes. La dépense publique se trouverait alors réduite de trois à quatre milliards d’euros. Ce qui revient à dire que se trouve là seulement 10 % de la solution, si l’on prend en compte l’engagement répété du gouvernement de parvenir à l’équilibre budgétaire en 2012 “ (Blog, RTL, 3.4.08).

Dominique Seux : “Les 140 mesures[annoncées le 4 avril] qui résultent de ces travaux, ne doivent dès lors pas être négligées. C’est le cas du non-remplacement d’un départ à la retraite sur deux dans la fonction publique, qui supprimera 35 000 postes l’an prochain[…] L’adaptation de la politique du logement, souvent évoquée par la Cour des comptes, est également bienvenue. Bref, tout cela va dans le bon sens. Reste à savoir si cela va assez loin. Et là, c’est nettement moins sûr (Les Echos, 4.4.08).

Jean-Claude Kiefer : « Le mal français a des racines qui s’étendent partout. L’attaquer à doses homéopathiques est sans effet […] Rien ne devrait échapper aux ciseaux[…] Du moins en théorie. Encore faut-il passer des paroles aux actes en faisant preuve d’un vrai courage politique avec l’impopularité pour rançon. » (Les Dernières Nouvelles d’Alsace, 4.4.08).

Si les éditorialistes réclament avec gourmandise le démantèlement de la fonction publique, ils ne cessent jamais en réalité d’intimer l’ordre aux gouvernants de ne pas faillir dans l’application de leur ordonnance favorite : toujours plus de de régression sociale.

L’éditorialiste Guilhem Beauquier résume bien cette ligne de conduite : « Les faits sont là, indéniables : réforme des régimes spéciaux de retraite, grèves encadrées et service minimum dans les transports publics, coupes claires dans les effectifs des fonctionnaires, dépenses sociales réduites au minimum, désengagement de l’Etat partout il le peut au profit du privé ou des collectivités locales, assouplissement des 35 heures dès et où que possible, allongement de la durée de cotisation pour une retraite à taux plein, etc. On peut trouver brutale cette façon d’agir, mais un quinquennat, c’est plus court qu’il n’y paraît[…] La France a sans doute besoin aujourd’hui d’une cure raisonnable de libéralisme, de moins d’Etat pour mieux d’Etat » (L’Union, 10.4.08).

On croit deviner que Laurence Parisot, la cheftaine du Medef, a appelé Guilhem pour le féliciter pour sa fidèle reproduction du contenu des plaquettes de l’organisation patronale !

4ème couplet : il est impossible d’augmenter les salaires

Jean-Michel Aphatie : ” Procéder[à l’] augmentation des petites retraites et baisse de la TVA, revalorisation des bas salaires dans la fonction publique et baisse des taxes sur l’essence, conditionnement des aides publiques aux entreprises à des hausses de salaires négociées tout d’un coup ou partie du tout, reviendrait à creuser encore le trou dans lequel s’enfoncent nos finances publiques “ (Blog, RTL, 29.10.07).

Michel Godet :  La hausse du pouvoir d’achat ne passe donc pas par la revalorisation du salaire horaire moyen, mais par la modération salariale pour retrouver la compétitivité et travailler plus pour augmenter la richesse créée “ (Challenges, 28.2.08).

Une compétitivité qui continue …d’augmenter : ” La rentabilité moyenne des entreprises […] n’a cessé de progresser depuis le début des années 1990 […] Le salaires ont augmenter nettement moins vite”  (10). Malgré cette évidence, certains éditorialistes continuent de prétendre qu’il faut donc toujours plus accroître les revenus des actionnaires. Et là, visiblement, c’est possible :

+ 15 %

C’est l’augmentation moyenne des dividendes versés à leurs actionnaires par les sociétés françaises cotées au CAC 40 (11) Les salariés n’ont pas eu cette chance !

5ème couplet : faire de la pédagogie

Bien entendu, les éditorialistes ne contestent jamais les projets proposés, se transformant régulièrement en conseillers du pouvoir, un rôle a priori dévolu à d’autres. Gérard Noël professe : “Pourquoi n’en profite-t-on pas pour faire de la pédagogie et donc expliquer aux citoyens que la situation de nos finances publiques impose des choix forcément douloureux ?” (La Liberté de L’Est, 10.4.08). Douloureux, surtout pour les personnes aux revenus les plus modestes qui sont aux premières loges pour encaisser les mauvais coups.

+ 9,5 %

C’est l’augmentation du prix du gaz depuis le 1er janvier 2008. Et ce n’est pas fini. Il faut bien satisfaire l’appétit des actionnaires depuis qu’une partie du capital de l’entreprise a été introduite en Bourse sous les ” vivas ” des médias dominants engraissés d’euros publicitaires par l’annonceur… Gaz de France. Cela n’incite pas spécialement à ” l’esprit critique “. On ne mord pas la main qui vous nourrit…

1 sur 7

C’est la part de la population qui subit de plein fouet le laminage de la politique de santé : « Chômeurs, ouvriers, employés du commerce, ” ce sont les ménages dont les revenus sont les plus faibles qui déclarent à la fois le plus mauvais état de santé, le taux de couverture en complémentaire les plus bas et le plus de renoncement aux soins “ (12). Les riches éditorialistes gavés d’euros n’ont pas ce type de souci…

Conclusion : de la nécessité de faire de la question des médias un axe central de nos mobilisations collectives

  • en opérant des liaisons revendicatives avec les salariés des entreprises de presse, y compris les journalistes qui ne disposent « dorénavant d’à peine plus de pouvoir sur l’information qu’une caissière de supermarché sur la stratégie commerciale de son entreprises » (13). Leur situation est aussi particulièrement difficile et ils subissent comme nous tous des attaques massives de tous côtés. L’union fait la force ;
  • en dénonçant régulièrement, dans les colonnes de journaux ou sur les plateaux de radio ou de télévision, les propriétaires de médias et le parti pris des éditorialistes qui interrogent nos porte – paroles syndicaux (quand ils ont droit à la parole). Ces derniers doivent maintenant abandonner leur prévenance pour lui laisser place à une posture plus combative collectivement assumée.

    C’est aussi une manière de porter le conflit devant les lecteurs, auditeurs, téléspectateurs mais aussi internautes. Le pouvoir des médias est loin d’être absolu. Il est aussi la conséquence des concessions que nous nous nous sommes nous mêmes finalement imposés jusqu’ici en observant un silence poli quasi-systématique en leur sein ; silence qui n’a d’ailleurs pas permis de faire augmenter le nombre de prestations médiatiques de nos porte-paroles, toujours ou presque méprisés et confinés au rôle de faire-valoir. Raison de plus pour passer à l’offensive ;

  • enfin, en faisant de la question des médias un axe revendicatif de première importance (14). L’objectif étant d’aboutir à la transformation du secteur pour le soustraire aussi bien aux emprises économique que politique.

Souvenons qu’à la Libération « L’asservissement des médias était encore une question politique et sociale de premier plan […] La vénalité inouïe de la presse d’avant-guerre avait instruit le gouvernement provisoire d’Alger. Dès le 26 août 1944, il promulgue des ordonnances destinées à encadrer l’économie du journalisme. Désormais, il sera interdit à un individu de diriger plus d’un quotidien d’information générale et politique »  (15).

Nos aînés Résistants érigeaient donc la liberté de la presse au même rang que les questions sociales, économiques et de la propriété publique de secteurs industriels stratégiques et des banques et autres assurances. Elle faisait partie intégrante de leur projet d’émancipation sociale. C’est à eux que nous devons notamment le vote des femmes (1944), la création de la sécurité sociale, des comités d’entreprises et la nationalisation du crédit (1945) puis du gaz et de l’électricité (1946).

C’est cet héritage aussi que les médias dominants veulent définitivement liquider aujourd’hui en soutenant celui qui représente, à leur yeux, la meilleure garantie pour la défense et la perpétuation de leurs intérêts qui sont à l’opposé de ceux des salariés : Nicolas Sarkozy. Nous devons vigoureusement nous y opposer pour faire perdurer la mémoire et l’action de nos aînés.

Une mobilisation qui s’organise

Aujourd’hui, de nombreuses mobilisations se construisent dans le privé comme dans le public contre la politique gouvernementale soutenue sans défaillir par les médias dominants qui montrent des signes d’impatience. Elles doivent converger pour obliger le gouvernement à reculer sur la démolition programmée de pans entiers des administrations, du statut de la fonction publique, du Code du travail, sans parler de la protection sociale (retraite et sécurité sociale). Et évidemment à augmenter les salaires

Aujourd’hui, pour renforcer une mobilisation grandissante, rejoignez Sud Intérieur, un véritable syndicat de lutte.


 
(1) Chiffres cités par VSD du 4 juillet 2007 repris par http://www.acrimed.org/article2869.html ;
(2) chiffres cités par Capital d’avril 2008 ;
(3) chiffre cité par le n°13 du Plan B, hors prestations pour différentes entreprises ou administrations (ménages) ;
(4) chiffre INSEE pour 2006 ;
(5) Le Plan B n°13 d’avril 2008 précise que 50 % des journalistes de la presse nationale gagnent entre 2 287 et 3 811 € par mois ;
(6) 22 % de pigistes selon la même source que le (5) ;
(7) Libération, Le Figaro, les groupes Le Monde, Canal +, Express – Expansion, Lagardère, Hersant Média, Ebra et bien d’autres ont procédé ou procédent actuellement à des dégraissages massifs de leur effectifs ;
(8) Chiffre cités par Le Canard Enchaîné du 9 avril 2008 ; (9) chiffres oscillant entre 700 et 1 100 selon les médias. Quelle précision dans l’estimation…. ;
(10) comme le confirme, Xavier Timbeau, économiste peu suspect d’être un ennemi de l’entreprise dans le mensuel Capital d’avril 2008 ;
(11) Chiffre cité par La Vie Financière du 5 avril 2008 et repris par Le Canard Enchaîné du 9 ;
(12) Extrait de l”Enquête santé protection sociale 2006″, cité par Paris Normandie du 8 avril 2008 ;
(13) comme l’indique fort justement Serge Halimi dans la dernière version de son ouvrage Les nouveaux chiens de garde, éditions Raisons d’Agir, paru en novembre 2005, page 15 ;
(14) les résolutions actuellement à l’étude pour le congrès de notre Union Syndicale Solidaires consacrent une deux pages à cette problématique ;
(15) extrait cité par le n°15 du journal PLPL, “ancêtre” du Plan B.

Sud Intérieur 80,82 rue de Montreuil 75011 PARIS – Solidaires Unitaires Démocratiques Intérieur – Membre de Sud Collectivités Territoriales – Membre de l’Union Syndicale Solidaires – avril 2008